À propos
De tous les arts, l’art culinaire est celui qui nourrit le mieux son homme.
L’art, Jean, ne fait pas le bonheur.
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Les origines
Mille ans avant que le Portugal ne devienne le rêve de celui qui fût son premier roi, Alphonse Henri, l’ouest de la péninsule Ibérique était habitée par le peuple lusitanien.
Malgré leur infériorité numérique, ils menèrent la vie dure aux légions romaines venues occuper les terres de leurs ancêtres. La cupidité et la trahison eurent toutefois raison de ces farouches guerriers et la «Pax Romana» s’établit pendant des siècles sur toute la péninsule.
En s’émancipant du royaume de Castille, Alphonse Henri fût proclamé roi en 1140. C’est ainsi que ce petit «jardin au bord de la mer planté» entra dans l’histoire.
L’expansion
Lorsqu’en 1307, l’ordre des Templiers fût démantelé par le roi de France Philippe «Le Bel», un certain nombre de rescapés trouvèrent refuge dans différents pays, dont le Portugal.
Ils apportèrent non seulement des trésors en espèces, mais aussi et surtout des trésors de connaissances, ainsi que tout un savoir secret que l’église catholique avait essayé à tout prix de cacher ou de détruire.
L’Ordre des chevaliers du Christ, fondé peu après, qui n’était autre que celui des Templiers camouflé sous un autre nom pour échapper à la colère papale, a hérité
des connaissances ancestrales et des secrets millénaires jadis entre les mains de l’Ordre du Temple.
Ce n’est donc pas le fruit du hasard si les premières grandes expéditions qui ont ouvert la voie aux «Découvertes», ont démarré sous les ordres du prince Henri «le Navigateur», «Administrateur apostolique» de l’Ordre du Christ.
La découverte
Il y a environ cinq cents ans, après presque un siècle de voyages autour de l’Afrique, les navigateurs portugais ont abordé les côtes d’une île verdoyante et luxurieuse.
Sa beauté les a tellement émerveillés qu’ils la baptisèrent «Formosa»…
Ce fait constitue à lui tout seul un événement car à cette époque, les terres fraîchement découvertes étaient presque sans exception, nommées d’après le nom du saint du jour de l’accostage, ou portaient le nom du roi ou du puissant seigneur qui finançait l’expédition.
Les Lusitaniens ont laissé en héritage dans la langue portugaise le préfixe «Luso», employé souvent comme qualitatif du caractère portugais.
Les Taïwanais, pour leur part, ont gardé le souvenir de l’épithète qui dénommait si judicieusement leur île.
La fusion
L’histoire se répète, parfois… Lorsqu’au XXIème siècle un portugais rencontre une charmante taïwanaise cela donne donc naturellement
LusoFormosa
un espace sans affiliation politique ou religieuse, dédié à la découverte des arts visuels et sonores…